Le capital humain se définit comme l’ensemble des capacités productives qu’un individu acquiert par l’accumulation de connaissances ou de savoir-faire généraux ou spécifiques. Les connaissances et les compétences accumulées permettent à une personne d’améliorer son efficacité et son revenu. La notion de responsabilité qu’englobe la démarche RSE demande que le capital humain fasse l’objet d’investissement de la part des dirigeants.
La théorie du capital humain fonctionne par analogie à celle du capital financier ou physique. Le capital humain est formé de trois éléments qui déterminent une certaine aptitude de l’individu à travailler : les compétences, Les expériences, les savoirs.
Le développement du capital humain joue un rôle déterminant pour mettre fin à la pauvreté et renforcer l’inclusion sociale. Pour cela, il faut investir dans la nutrition, la santé, l’éducation de qualité, la justice, l’acquisition de compétences et l’accès aux emplois. Tous ces éléments doivent être compris comme des droits de l’homme à promouvoir.
En termes d’effet, l’accumulation de capital humain favorise des gains de productivité utiles à la croissance et à l’emploi.